A propos

Pourquoi écrire ?

Pour exprimer, partager, diffuser. Pour émettre une opinion. Pour participer, même modestement.

Pour proposer une lecture différente, pour dépasser les représentations, éculées, inadaptées et archaïques d’une société institutionnelle, égocentrée, auto-entretenue dans l’immobilisme, dans sa propre protection.
Protégée de quoi, de qui ?

De la réalité, de la relation, du contact, des évolutions, des nécessités, des autres, de sa responsabilité. De la vie.

Créer Le Guetteur c’est observer pour comprendre, autrement. C’est s’inscrire dans le courant de demain, plutôt que répéter celui d’hier. C’est aussi participer positivement d’un potentiel individuel français de modernité, de courage, d’innovation, de projets, de décisions et d’action.

Communiquer sur une relation la plus équilibrée entre l’individu et son environnement, en tant qu’écosystème : social, économique, écologique…

Archaïsme institutionnel

Certains individus animent ces potentiels et sont les ressources d’énergie et d’espérance d’un pays engourdi par les élites, éduquées et construites pour le statu quo, qui pourrait mener au chaos.

Ce statu quo qui nourrit la division pour permettre à un pouvoir en limite, étriqué, craintif, d’exercer son contrôle sur un potentiel trop élevé pour le laisser s’exprimer : empêcher plutôt qu’encourager. Renoncer à la performance, tout en valorisant l’individu, pour plutôt sauvegarder des systèmes, des organes, des procédures, des lenteurs, garants du contrôle des administrateurs du système sur l’expression de ceux qu’il est censé l’accompagner.

archaismes institutionnels

Entre obéissance archaïque et libération, quel autre choix ? La France, malgré le bain de sang de la Révolution, n’est toujours pas sortie du schéma dominant-dominé. De l’abus et de la soumission. Encore et toujours la crainte du soulèvement, du danger pour le pouvoir, du risque vital. La perpétuelle opposition, la colère face à ce pouvoir excessif et manipulateur. Une colère qui, même si elle revendiquée comme moyen d’expression par certains, mène à la violence, et à l’abus, aussi, et encore.

Ce blog milite pour la nuance, pas pour le rejet, tout aussi arbitraire que l’autoritarisme. Il milite pour la relation au système. Pour la responsabilité dans le système. Pas pour la suppression du système.

C’est cette relation qui pourrait faire de la France un pays qui se réforme, par le « bas », avec courage, plutôt qu’un pays de système qu’on change sans rien changer : déplacer plutôt que reconsidérer. Déplacer des mêmes modes de fonctionnement dans un décor différent.
Une sorte de pièce de théâtre mal jouée, mais dans des théâtres différents, avec de nouveaux décors, pour le même résultat. Et remettre en question son jeu d’acteur ?

Avancer

Remettre en question, c’est le courage d’une partie de la société civile, plus moderne que la société institutionnelle, locale ou nationale, figée dans sa culture du statut. Ce statut comme traduction de l’obsession de valorisation individuelle.

Et quid d’un pouvoir de réalité, de courage, dépouillé de ces artifices d’une pesanteur archaïque, derniers paravents d’une impotence ordinairement répétitive.

Cette part de société en contribution, qui investit en relation avec une réalité en mouvement.

Le Guetteur a pour objet de proposer, sans affirmer, une posture d’esprit critique et indépendant au-delà des propos convenus et répétitifs.

Le Guetteur souhaite visiter cette relation au système, sous l’angle du comportement, de la situation vécue. Il envisage de dépasser les images volontairement entretenues d’une institution idéalisée qui, dans les faits, est déconnectée des réalités individuelles, collectives, nationales et internationales. Une institution bloquée par des dogmes, des concepts, qui frise le délit d’ignorance et commet celui de couardise.

Le Guetteur investit une structure de la relation et n’envisage pas l’abolition des règles, des autorités, mais une autre façon de les diffuser : en responsabilité, en courage, en relation.

Ce blog soutient l’expression d’un potentiel individuel dans le respect d’un projet collectif réel, organisé, et clairement énoncé, en phase avec le possible, l’atteignable, le concret.

En réalité

Le Guetteur s’éloigne d’une recherche permanente d’autosatisfaction institutionnelle soutenue par le fantasme de concepts sociétaux irréalistes. Il préfère la confrontation, avec une réalité moins idéalisée, dont le contact salvateur serait le premier pas vers l’acceptation d’une société imparfaite, mais réelle, dans ses rugosités mais aussi dans ses potentialités. Constater pour avancer.

Qui est le Guetteur ?

Le Guetteur peut être chacun d’entre vous. Je suis Stéphane Lhermie, professionnel des ressources humaines, observateur et passionné de l’influence des modes de fonctionnement collectifs sur la construction individuelle, je propose autant dans son métier qu’au travers de ce blog une lecture personnelle, individuelle d’une société en mouvement, convaincue du potentiel d’influence de chaque individu sur son environnement.

anonymat

Au-delà de mon nom en tant que rédacteur, je souhaite proposer et partager des idées, juste pour envisager « autrement », juste pour vous dire ce que je vois, d’ici, de mon point de vue, modeste mais le plus ouvert possible sur l’autre.

En relation, imparfaite, mais en relation avant tout, et surtout dans une relation la plus équilibrée possible.

Une invitation

Je vous propose de voir autrement, pour voir par vous-même, vous permettre de questionner, au-delà des archaïsmes auxquels se cramponnent avec avidité les supposées élites.

Que vous adhériez ou que vous soyez d’un avis différent, je vous souhaite une bonne lecture, autrement, bien entendu.